Thomas Coville a plongé au sud pour éviter des vents violents, sa route au sud de celle de Francis Joyon lui a permis de regagner plus de 150 milles sur le temps de référence.
Sodeb’O a retrouvé des allures portantes, malgré tout, le skipper a du effectuer de nombreuses manoeuvres pour maintenir au mieux le trimaran sur sa route malgré une mer croisée, qui plus est Thomas Coville doit redoubler de vigilance puisqu’il navigue dans une zone où ont été signalés des growlers, comme l’explique le routeur Christian Dumard : « Tom navigue entre deux zones. Il passe dans le Sud d’un iceberg de 5 kilomètres qui s’est fragmenté et dont les fragments ont dérivé vers l’Est et au Nord de deux icebergs détectés à 415 milles dans le Sud-Est du bateau. »